dimanche 30 janvier 2022

it is the end

my friend(s)

lundi 24 janvier 2022

Que me fais-tu là
cher vieux Zafira,
quel est ce message hâbleur
sur ton modeste afficheur ?
Dehors le mercure qui jamais ne ment
indique zéro degré Celsius
et toi tu me dis doux Jésus
de vérifier le liquide de refroidissement
Que dois-je en penser ?
Vas-tu me dire en plein été
au pic insupportable de chaleur
qu'il faut que j’emmaillote
de deux ou trois bouillottes
ton bouchon de radiateur ?
Très sincèrement je te le dis,
tu m'inquiètes mon doux ami !

dimanche 23 janvier 2022

vendredi 21 janvier 2022

jeudi 20 janvier 2022

Jacques Brel est un soir d'été

 

                                 et moi une armoire à pharmacie

 

                                                                       À chacun son identité

 

et les kids seront alright

lundi 17 janvier 2022

« À Hambourg, il existait une forte émulation entre Rory Storm and The Hurricanes et les Beatles... Sauf que je jouais dans les deux groupes ! Pour captiver le public, chacun sautait le plus haut possible et un soir, la scène s'est véritablement brisée sous nos pieds. Le patron nous a immédiatement virés parce qu'il ne comprenait pas le rapport entre rock 'n' roll et violence ! »
interview de Ringo par Ken Sharp dans VSD n°2125

jeudi 13 janvier 2022

Asthénie du matin, chagrin

 

Ringo Starr du swar, espoir

mardi 11 janvier 2022

dimanche 9 janvier 2022

vendredi 7 janvier 2022

 
Un optimiste, c'est un homme qui plante deux glands
                                              et s'achète un hamac
 
Jean de Lattre de Tassigny
 

jeudi 6 janvier 2022

LIBERTÉ ÉGALITÉ PLOMBERIE (19)

Des difficultés à contacter ce plombier, après tant d'autres, on peut dire que j'en ai eues. Après plusieurs tentatives, il me rappelle. Je lui expose le problème et lui demande s'il peut venir. Il me dit qu'il va voir et qu'il me tient au courant. Il se passe un long temps avant que je l'aie de nouveau au téléphone. Il me dit qu'il est désolé mais qu'il ne pourra pas s'occuper de mon cas. Pourquoi ? Parce qu'il a beaucoup de demandes et qu'il est obligé de faire un tri. En résumé, il m'explique que la situation que je lui ai décrite est trop complexe, en gros c'est une usine à gaz (il y a pire pour un plombier!) et qu'il craint que le diagnostic soit trop difficile à établir, la durée d'intervention trop longue et le coût trop élevé. Alors là il m'a cueilli, j'ai dit oui, oui, je comprends et j'ai raccroché, même pas à regret, comme anesthésié. Tant pis, je vais laisser pisser. Peu de temps après, au détour d'une conversation sur Peter Jackson et Get back, son dernier film documentaire, cet ami me lance « mais au fait, qu'est-ce qui a précipité la séparation des Beatles? » J'ai souri - oui, oui j'y arrive dans certaines circonstances - et lui ai dit que c'était trop compliqué, long à démêler et que ma version des faits allait vite le fatiguer. Non, je déconne, je lui ai raconté à ma façon la fin des Fab Four, entre Twickenham et Savile Row, London 1969. C'est vrai quoi, chacun son truc.

lundi 3 janvier 2022

C'est une vision en deux volets, dans toutes les nuances de gris et de couleurs sombres. Premier volet : la dernière scène du Salaire de la peur, le film d'Henri-Georges Clouzot. Yves Montand sans vie au volant de son camion, un ticket de métro qui s'échappe de sa main. Deuxième volet : la dernière scène de Manon des sources, le film de Claude Berri. La femme de maison apporte un plateau, elle ouvre les volets de la chambre et le voit allongé sur le lit, dans une position qui ne laisse pas de place au doute. Elle s'approche, lui ferme les yeux. Le plan se resserre sur la main du défunt, entrouverte sur un petit peigne, celui des cheveux de Florette. Ciao Ivo, resta a letto, riposa in non tempo 💛💜

samedi 1 janvier 2022

jeudi 30 décembre 2021

Q = starlette au haras





O><P





R = pouliche

jeudi 16 décembre 2021

Dear dog Dominique 💜💛

                                                                       forever dans mon cœur de dog 💚

mardi 14 décembre 2021

LIBERTÉ ÉGALITÉ SORORITÉ (18) 
 
Mes chères amies, souvent je vous croise, au hasard de mes pérégrinations et souvent la tristesse me gagne. Vous claudiquez mais sans ostentation, c'est beau. Perdre l'équilibre, glisser sur un trottoir qui se dérobe sont des pensées qui vous habitent, ce n'est pas une illusion ou une construction mentale je le sens bien. Mais ce sont surtout vos petites mines, votre peau affadie qui me font de la peine. Votre fraîcheur s'est évanouie, évaporée au soleil de la barretabasse. Vos rides se sont creusées plus vite que le sillon de votre progéniture. Sous vos paupières ou derrière vos yeux mi-clos, je ne devine pas un assoupissement, mais l'amertume devant le cycle irrémédiable des saisons. Dans votre immobilisme, je crois lire un recul devant les petites jeunesses qui se sont installées dans le voisinage et dans votre silence un abandon, un renoncement  qui ne dit pas son nom. Cela ne devrait pas m'affecter à ce point, on me le répète et j'en ai bien conscience. Vous n'êtes que des maisons, je sais, mais mon cœur se fendille quand je vous vois dans cet état, ça va faire une petite fissure de plus sur votre façade. N'en prenez pas ombrage, c'est ma contribution au bâti de l'âme.